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 Crowley fuckin' Alexander.

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2 participants
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Alexander Crowley
Le Colonel Moutarde dans la bibliothèque avec le chandelier !

Alexander Crowley


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Date d'inscription : 23/10/2010
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MessageSujet: Crowley fuckin' Alexander.   Crowley fuckin' Alexander. Icon_minitimeDim 24 Oct - 15:58

I want you to know that you’re falling through a hole in the sky
©Alice is Dead
“ alexander crowley.

STARRING 'Cillian Murphy'
bloody magnifying glass


« DIS-MOI, C'EST ÇA L'ENFER ? »
« Je n'ai jamais eu la prétention de Lui plaire. Je n'ai jamais eu la volonté de plaire à qui que ce soit. Le principal, c'est de se souvenir d'où l'on vient, et savoir où l'on va. Je me rappelle d'une chose : je me situe entre les deux, là où le reste s'érode. Je laisse le savoir aux intellectuels, ceux qui sont payés pour ça quand je gagne ma vie à faire attention à eux. Qui a besoin de fierté, de nos jours ? L'arrogance est sourde et la satisfaction aveugle. Je ne suis pas fréquentable : on ne l'est jamais vraiment quand on se contente de peu. »

« TA CONTRE-MORALE. »
« 2) Vous êtes confortablement installé sur les coussins orientaux de cette fumerie d'opium que vous avez maintenant l'habitude de trop fréquenter. Racontez nous votre voyage : votre paradis éphémère vous apparaitra t-il, l'objet de toutes vos convoitises ? Ou bien au contraire, la fumée révélera t-elle vos névroses les plus sombres ? »

Il transpirait déjà à grosses gouttes lorsque la faim qui le tiraillait depuis la veille disparut, remplacée par les nausées indomptables qu'il, comble du malheur, avait fini par affectionner. Il y avait cette ambiguïté abjecte de se purger par le mal, de sortir tout ce que son esprit ne pouvait exprimer d'une façon purement et simplement bestiale, autrement que par le stupre et la luxure ; sa respiration se fit saccadée lorsqu'il inspira. Il n'était pas un grand consommateur : en fait, ses absorptions restaient rares, et il était un néophyte en la matière. L'opium, cependant, resplendissait de facilité dans ce maelström bordélique qu'incarnait ses pensées décousues. Cette stupeur que l'organisation décisive était au bout de ses doigts alors que l'instabilité le privait d'une véritable course réflective. Jack. Jack.
Jack.
Un prénom et la haine corrosive qui en découle. Cette façon déraisonnable de s'obséder, cette chimère absurde qui contractaient ses pupilles simultanément à ses idées, et il se fixait un but, un seul : gagner. Il n'avait que faire de ces collègues qui lui répétaient que la justice n'était pas un jeu. Il était la Justice, celle qui dominait, celle qui exécutait. La fin justifie les moyens. Toujours. Il existe une très mince frontière entre l'héroïsme et la monstruosité. Il eut un vertige, et si la sensation de bien-être avait un jour existé elle semblait disparue pour toujours, accompagnée de son lot d'ataraxies. Il vivait, bon Dieu. Il vivait comme jamais il n'avait vécu auparavant, et il riait, il riait tellement, tendant cette main inconnue fébrile vers un vide qu'il aurait voulu remplir, remplir d'insanités et d'immondices, cracher sur ces mots qui ne signifiaient plus rien, devoir, obéissance, respect, protection.

Sa lourdeur l'entraîna vers le fond et il tomba, longuement et lentement, contemplant à loisir sa propre chute et vibrant à la douleur de son dos qui heurta l'immensité, un simple sol dévasté. Il souffla. La buée qui s'en échappa le nargua et il ferma le poing, empli d'une certitude atroce, celle que tout finissait avant même d'avoir commencé. Autant courir après le temps. Que pouvait motiver une âme aussi désespérée ? L'adrénaline ? La nouveauté ? Les supplications ? Non. Le sentiment de supériorité n'avait plus lieu d'être depuis la Grèce Antique. Cette déduction le fit grimacer, et le rictus se transforma en souffrance lancinante. Il se mordit la langue pour étouffer les borborygmes. Si Dieu existait, Jack devait en être le putain d'envoyé. La chaîne alimentaire.

Une bouffée de chaleur l'envahit, et là, ce fut trop, trop, trop. Roulant sur lui-même pour se redresser à l'aide de ses avant-bras, il se mit à vomir, expulsant son mal-être qu'il espérait accompagné de toutes les preuves vaines, toutes ses suppositions débiles, toutes les traces tangibles qu'il avait pu relever, et qui le ramenait indubitablement à Lui. Au fin fond de sa poche glacée, la dernière lettre de son meilleur ennemi vibra au rythme de ses toux dégueulasses. Le dernier spasme le renversa, mais il eut assez de force pour se projeter sur le côté. Tout lui revint en tête, et si ses sanglots ne traduisaient aucunes larmes il vibra au rythme du désespoir. Il n'y avait aucun remède. Une seule alternative, une unique solution funeste. Lui. Lui. Alexander avait déjà fait son choix.

Que le Temps puisse lui donner raison.
« BAS LES MASQUES. »
« Bella, on t'aime ! Sinon, Luka, 20 ans dans un mois (putain.), enchantée ! »
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Elizabeth R. Harker
Le samedi, c'est moitié prix !

Elizabeth R. Harker


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MessageSujet: Re: Crowley fuckin' Alexander.   Crowley fuckin' Alexander. Icon_minitimeDim 24 Oct - 21:28

T'es même validé avant moi. J'aime, j'aime, j'aime. Ah oui et j'aime aussi. I love you
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Alexander Crowley
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Alexander Crowley


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MessageSujet: Re: Crowley fuckin' Alexander.   Crowley fuckin' Alexander. Icon_minitimeDim 24 Oct - 21:34

Je dépucèle la ChatBox et les présentations acceptées. J'ai la classe ou bien ?
Merci Elie jolie. I love you
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Elizabeth R. Harker
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Elizabeth R. Harker


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MessageSujet: Re: Crowley fuckin' Alexander.   Crowley fuckin' Alexander. Icon_minitimeDim 24 Oct - 21:37

T'es en mode BG, on peut pas test.
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MessageSujet: Re: Crowley fuckin' Alexander.   Crowley fuckin' Alexander. Icon_minitime

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